Âge ♢ 18 yo. Je joue un ♢ personnage inventé (sorti de ma boite à cerveau!). Avatar ♢ Harvey Newton Haydon leplusqueparfait. Double Compte ? ♢ neeeein. J’ai connu le forum grâce ♢ à la merveilleuse Aswenn Je trouve le forum ♢ grrrroar Crédits ♢ tumblr Un dernier mot ? ♢ bordel de merde, je l'attend cette ouverture ( demandez à Aswenn, je la harcelais )
Identité complète ♢ Jeremiah Harley Darwin Date & Lieu de Naissance ♢ 13 avril, à Londres. Âge ♢ 24 ans. Nationalité ♢ anglaise. Origines ♢ anglaises, seulement. Métier/Etudes ♢ barman et professeur de hip-hop le week-end Statut Civil ♢ célibataire. Orientation Sexuelle ♢ bi-curieux Classe Sociale ♢ aisée. Groupe ♢ os vivos.
Mélie / Hok'ee Blondie
fiche : terminée
Dernière édition par Jeremiah H. Darwin le Sam 24 Mai - 10:15, édité 3 fois
Mr Darwin. Un grand homme, brun avec des yeux clairs et une carrure particulièrement imposante. Bien qu’il ait pris de la brioche, il n’en reste pas moins charismatique et fier. Son regard est prenant, il fait presque peur. Je sais que beaucoup de monde baisse les yeux dès qu’il entre quelque part, ou si ce n’est pas le cas, qu’ils en restent bouche-bée… Sauf moi. Je suis le seul être humain sur cette Terre – peut-être un peu suicidaire – qui ose lui tenir tête. Il n’est pas si terrible Mr Darwin, il est même sympathique, tant que nous le caressons dans le sens du poil. Il me transperce de son regard, hautain, méprisant et dédaigneux. Il ne sait que faire, il contient toute sa rage, en se disant qu’il a une décence et une humanité au fond de lui. Je ne bouge point, je reste paralysé. Pourquoi avoir fait cela, au juste ? En ce moment précis, je ne sais plus trop, peut-être pour la provocation, pour une sorte de revendication… Une révolte. Il soupire, ce soupir que je hais tellement, que je ne supporte plus, puis après quelques minutes de silence – autant de son côté que du mien – il ose déclarer de sa voix noire, grave et presque menaçante « - Pour ton tatouage débile, je suis passé outre. Pour la voiture démontée en plein centre-ville, je suis passé outre… Mais que tu abandonnes tes études ? TES PUTAINS D’ETUDES ! Bon dieu Jeremiah ! Tu te fous de moi ? » crit-il, se contenant tout de même. Je fronce alors les sourcils et me souvient de toutes les raisons qui m’ont poussées à tout arrêter : je déteste les études. Je déteste rester planter là, comme un balourd, à écouter des personnes incompétentes qui vous bourrent le crâne. Je hais me sentir inutile, et sur ses bancs à m’endormir littéralement, je le suis. Alors je suis partie, j’ai abandonné mes deux années bien entamées en droit, et j’ai fait face. Je ne l’ai pas dit à mon père - car Mr Darwin est mon géniteur - peut-être par lâcheté, par peur… Mais je n’ai plus peur. Je n’ai pas peur. Je ne baisse pas les yeux et soutient son regard. C’est drôle, je n’avais jamais remarqué à quel point ses yeux étaient orageux quand il était énervé, c’est parce que je ne baisse plus le regard : je l’affronte. Je ne dis mot, et soulève un sourcil. Son poing se serre, et instinctivement, le mien aussi. Je ne suis plus un gamin de dix-neuf ans maintenant, je peux dire non et m’affirmer. Je n’ai plus besoin de jouer un rôle devant mon père et devant les copains. Je suis ce que je suis, dorénavant ! « - Tu veux faire quoi dans ta vie ? Tu veux glander à la maison, à te prélasser sur le canapé, bouffer des cochonneries devant des émissions qui t’abrutiront !? Si c’est ce que tu veux, tu dégages de chez moi ! Je ne t’accepte pas, je ne veux pas d’un moins que rien en tant que fils ! » et bla bla bla… Je sais pertinemment qu’il enchainera sur l’honneur de la famille, que nos grands-pères, nos oncles et nos cousins font des études prestigieuses et que je suis, par conséquent, le seul blaireau de la famille qui finira sous un pont. De ce qu’ils en pensent, ils ont l’esprit étroit dans la famille. Seulement, hormis amasser de l’argent et faisant des coups bas aux gens, que font-ils de plus ? Je veux m’amuser, je veux laisser une trace de mon passage sur Terre, je veux vivre. Vivre pleinement. Être moi. Longtemps j’avais été mal dans ma peau à cause de cette oppression. Je n’avais pas de quoi pourtant, j’avais tout ce que je voulais : une moto, la haute-technologie, une chambre bien aménagée… Tout. Sauf cette liberté d’action. Je savais que si je restais dans cette famille, je n’aurais pas de choix, et je serais contraint d’être ce que je ne suis pas. Je serais soumis à ce Père dévastateur, et je déteste obéir. Je n’obéis qu’à mes propres lois ! Je me lève donc, snobant l’homme qui s’excitait face à moi, et comme je me l’attendais, il attrape mon bras et me lance le plus mauvais des regards en me demandant ce que je faisais. Mes valises étaient là-haut, elles m’attendaient. J’avais tout prévu, absolument tout. J’y avais longuement réfléchi, et je m’étais lancé. J’avais trouvé le courage de me lancer dans cette aventure folle. Adieu le Jérémiah qui ne sert à rien, bonjour la nouvelle vie. J’étais jeune, et tout était devant moi ! Je m’étais acharné à travailler dur pour collecter un peu de sous, je m’étais empêché de trop sortir, suffisamment pour ne pas émettre le doute au sein de mon groupe d’amis et de ma famille. J’ai même dû mentir à ma sœur, à Oksana qui n’y était pour rien. J’avais séché quelques heures de cours, expliquant donc cette baisse dans mes résultats. Je n’abandonnais pas parce que c’était dur, le droit était de la rigolade pour moi, mais parce que je ne voulais plus. Mon rêve était de voyager, de quitter l’Angleterre et l’Europe surtout. Je voulais voir du pays, mais ne pas me poser tranquillement. Je voulais être utile… Alors j’abandonnais l’idée des pays développés, ne m’y intéressant guerre et j’étais tombé amoureux du Brésil. Le pays du foot, des danses frivoles, des couleurs… Et … Et… C’était décidé. Je partais là-bas, avec une petite valise et un sac, comme un grand. Je n’abandonnais pas mon chien, mon husky qui répondait au nom de Micco. Un husky au Brésil ? Quelle idée farfelue ! Mais ça me plaisait bien. Je m’étais arrangé, j’habiterais dans un lieu spécial, et j’avais déjà trouvé un sorte de boulot grâce à une organisation…
Je m’en allais, loin, très loin d’eux.
Mon père n’avait donc pas supporté cela, cette façon que j’avais eu de le déprécier. Il n’était plus un mentor, ni un modèle, ou un idéal. Il n’était qu’un géniteur. Nous ne nous étions jamais réellement bien entendu, je dirais que nous nous supportions. Le reste de la semaine fut tendue, et il faut dire que je me construisais une bulle. Je m’étais débrouillé seul, à seulement vingt ans, pour aller à l’aéroport. Et j’étais parti, laissant derrière moi ma famille.
Deux ans, c’était officiellement le temps que j’avais passé au Brésil, et je m’y suis fait. Finalement, j’étais parti de l’organisation, m’étant trouvé un travail régulier – en tant que barman – pour pouvoir subvenir à mes besoins et à mon logement. Mon père ne me donnait plus de nouvelles, et je n’en avais plus – aussi – d’Oksana, ma demi-sœur. Je devais avouer et je l’avouais que ma famille me manquait. C’était un vide que je comblais facilement… Si cela ne pouvait pas être éphémère. Je vivais donc ma petite vie. L’humanitaire ne me convenait pas, parce que les conventions étaient contre mes idéologies. J’étais donc devenu professeur de hip-hop dans un petit local dégradé, aidé d’une collègue fort sympathique qui voulait être reconnu. L’adhésion n’étant pas cher, nous accueillons sans mal tous les enfants perdus de la ville. Et cela me plaisait. C’était fou comme une simple chorégraphie, des petits mouvements finement bien choisis pouvaient redonner le sourire. Ces gosses avaient besoin de rêver. Je me sentais utile, et c’était un sentiment agréable. J’avais donc trouvé ma voie et souriait fièrement à cette pensée. Je ne cessais d’imaginer la tête de mon paternel à l’idée que je pouvais réussir sans forcément suivre sa dictature. Je me souviens de ces mots, qui m’avaient blessé autrefois… Aujourd’hui, ils étaient ma force.
Je m’étais fait quelques connaissances, j’avais frôlé la bêtise pure et j’avais découvert à quel point le Brésil, et Rio particulièrement, pouvait être une ville dangereuse. Vous ne savez pas ce qui se trame derrière tous ces décors de rêve… Je choisissais de ne pas m’en mêler, je savais que je n’avais pas la force ni le charisme nécessaire pour. Je me méfiais des personnes, les fuyants comme la peste pour ne pas tomber dans la drogue et la mafia. J’avais eu l’expérience, une fois, de dealer et … Je n’oserais sûrement plus jamais recommencer. Je n’étais pas une chochotte, mais je ne jouais aucunement avec la mort. Mon quartier était un peu pourri, j’avais peu de revenus, faut-il dire… Peut-être que j’aurais pu tomber dedans, au final…
Si je n’avais pas rencontré Imogen. Imogen elle est douce, elle est belle, elle est souriante. Imogen, elle est elle-même. A vrai dire, Imogen est comme ma seconde famille, ma sœur. Elle est mon repère à Rio. Je ne sais pas ce que j’aurais fait sans elle. Nous étions colocataires, et il est vrai qu’elle payait la plupart des charges. Notre rencontre avait été explosive, et notre amitié l’était encore plus. Elle a du caractère, ce petit bout de femme ! Elle déteste être protégée, et je ne cesse de vouloir le faire. Mais j’ai appris à m’en foutre, en réalité, je m’en fous de tout, maintenant. Je deviens impassible, mais pas désintéressé. On s’amuse bien. Je suis souvent avec elle, pour ne pas dire tout le temps. Nous faisons notre vie, chacun de notre côté. « - Je suis beau, pas vrai ? » Elle lève son regard sur moi, ce joli regard. Elle est mystérieuse Imogen, mais aussi brisée. Je ne l’embête pas, je sais qu’il faut qu’elle vienne vers moi. Notre amitié est peut-être un peu égoïste, et individualiste, mais nous fonctionnons ainsi, tous les deux. Le plus important est que je sais que je pourrais toujours compter sur elle, et réciproquement. Elle ne me répond pas, elle préfère ne pas répondre, mais elle sourit. Et je fais de même. Je sais déjà ce qu’elle pense, du coup, je hausse les épaules et repars dans ma chambre.
Heureusement qu’elle est là, Imogen.
Dernière édition par Jeremiah H. Darwin le Sam 24 Mai - 10:21, édité 4 fois
LOVALOVA LOVEDETOIIIIIIII Tellement heureuse de te voir ici Ta fiche est juste perfect, et la fin sur Imogen Yé te nem blondasse. & j'en oublie les conventions : bienvenidoooo
QUE JE T'AIMEEEEE ! J'ai hâte de rp avec toi ma méloune Encore bienvenue, and HAVE FUN WITH US
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