« Ta mère va bien ? » Se visage, tu le connaissais. C'était celui de tes cauchemar d'enfants. Tu n'arrivais pas à mettre la main sur se souvenir, mais se visage tu l'avais vu des centaines de fois. Tu le connaissais, tu ne le reconnaissais juste pas. « Oui... » Tu mens, depuis que ton frère est mort elle ne va pas bien, elle n'as jamais été bien du loin que tu te souvienne de toute façon. Mais cette homme... Il avait un rapport avec tout ça. « Tu ne me reconnais peut-être pas, mais on as passé... De bon moment ensemble quand tu étais plus petit. Quand tu avais onze ans. » Non, tu ne te souviens pas. Tu n'arrive pas à te souvenir d'une époque avant tes douze ans, comme si ta vie n'avait commencé qu'à cette époque. Tu faisais un blocage, et tu le savais. « Non, je ne me souviens pas de ça. » Si tu sais, réveille toi Orphée tu sais, je sais que tu sais. Tu le reconnais se visage, il t'as hanté, et tu sais pourquoi, tu sais pourquoi, tu l'as vu. « Vous avez une jolie voiture. » Une jolie voiture, tu le voyais bien, et tu savais qu'une voiture comme celle-ci ne durait pas dans ton quartier de Curitiba. Alors pourquoi ça marchait maintenant ? Pourquoi personne n'y touchait ? « Oui... Ta mère est dans le coin ? » Elle était juste à côté de toi, mais il ne la reconnaissait pas. Elle était plus maigre, moins jolie et plus.. bein plus terrifié que d'habitude. Tu la montre du doigt et il la regard, surpris et amusé. Pourquoi amusé ? La tristesse de cette femme avait jusqu'ici attendri ou pris par pitié un grand nombre de personne, surtout ceux la connaissant dans ses années de jeunesses, ses belles années. Jamais personne n'avait été amusé de voir ta mère dans cette état, et ça te choquais. Tellement que ton souffle en fut coupé. « Adrianna.... Regarde moi. » Il parlait à ta mère, gentiment, mais tu avais quand même peur. Il ne t'inspirait pas confiance. « Regarde moi.... Regarde moi quand je te parle ! » Il hausse le ton, te fais sursauté alors que ta mère reste de marbre. C'est alors que tu te souvint, des cris de cette nuit, des coups de feu. Tu te suis souvenue de tout, enfin d'une partie. La même main qui touchait à se moment la cuisse de ta mère avait appuyé sur la détente de l'arme qui avait tué ton frère.Tu te rappelais des réunions étrange, de tout. Ce type, c'était ton ancien beau-père. Ce type était un criminel. « Ne vous approchez pas d'elle ! » Dis-tu après t'être remise de mes émotions. Du haut de mes 19 ans, tu ne faisais peur à personne, mais tu voulais lui tenir tête. « Pardon ? » Tu baisse les yeux, tu as peur. Il te gifle. Ta mère se lève brusquement, mais ne fait rien. Il la défiait du regard. Il partit enfin, quelques secondes après. Tu ne savait même pas pourquoi il était arrivée ici en premier lieu.