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 ZRQ # Never close our eyes

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Zayden R. Quinto
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Zayden Rafaël Quinto
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Âge ♢ 22 ans. Je joue un ♢ personnage inventé. Avatar ♢ Zayn Malik. Double Compte ? ♢Alessandro M. Costa. J’ai connu le forum grâce ♢ Bééé. Je trouve le forum ♢ Gooood :P. Crédits ♢ Tumblr. Un dernier mot ? ♢ Prout.
Identité complète ♢ Zayden Rafaël Quinto. Date & Lieu de Naissance ♢ 21/10/1991 à Rio. Âge ♢ 22 ans. Nationalité ♢ Brésilienne. Origines ♢ Pakistannaise, Néo Zélandaise & Brésilienne.  Métier/Etudes ♢ Vendeur dans une librairie de livres ancien. Statut Civil ♢ Père célibataire. Orientation Sexuelle ♢ Hétérosexuel. Classe Sociale ♢ moyenne. Groupe ♢ Os Oscuros.

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Dernière édition par Zayden R. Quinto le Sam 10 Mai - 15:16, édité 4 fois
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Tua história


Rio, Brésil # 2003
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J'ai pas forcement eu à me plaindre de mon enfance, certes, j'ai grandis dans une des villes les plus dangereuses du monde, mais j'avais l'avantage de pouvoir compter sur mes proches, du moins c'était ce que j'ai longtemps cru. Née d'une mère Néo-Zélandaise et Pakistanaise et d'un père Brésilien, j'ai eu la chance d'être exposé à une multitude de culture et de religion. En effet, ma mère étant musulmane et mon père catholique, j'eus la possibilité de pratiquer les deux religions sans réellement devoir choisir. En fait, depuis ma naissance, j'avais toujours eu le choix, mais surtout, j'avais pu grandir dans une famille ouverte. Parfois fou, parfois sage, je n'étais pas un enfant brillant, je m'en sortais à l'école, mais disons que je n'avais jamais les félicitations, ni même d'avertissement, j'étais dans la moyenne. Un enfant qui ne se donne pas les moyens, mais un enfant ayant du coeur. C'était ce qui comptait pour mes parents. Après tout mon père était policier et sa seul crainte durant toute mon enfance et adolescence fut que je tourne mal, que je devienne ce qu'il chassait. Quand à ma mère, elle était infirmière et hormis panser mes blessures, elle ne s'inquiéta jamais. J'étais un gamin parmi tant d'autre, un gamin qui n'avait pas une famille riche, mais une famille droite. Et je n'étais pas seul, j'avais en effet un grand frère, un petit et une petite soeur, une grande famille avec qui jouer ou frimer. Bref, je n'ai jamais eu à me plaindre de quoi que ce soit, si ce n'est peut-être, d'avoir régulièrement peur pour la vie de mon père. Il fallait être réaliste, il faisait un métier de base dangereux dans une ville qui l'était encore plus, et bien que je l'eus toujours cacher, les accolade que je lui faisais chaque soir n'était pas pour rien. J'avais peur pour lui. Plus d'une fois il revint blessé, mais ce ne fut jamais grave fort heureusement. Et c'est un peu miraculeusement que notre famille traversa les années.

Quatre enfants, deux parents, six personnalités droite et franche. J'étais conscient du danger, mais dans un sens, je demeurais insouciant, incapable de véritablement concevoir que le monde pouvait ne pas tourner rond. J'avais cru que ma zone de confort ne serait jamais touché, car j'avais cru que les personnes à qui je donnerais ma confiance ne serait jamais apte à me trahir. J'avais bien évidemment tord, mais cela, je ne l'appris que bien plus tard, lorsqu'il fut trop tard.



Rio, Brésil # 2008
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Dans la famille, il y avait toujours eu certaines évidence, comme le fait que mon frère suivrait les trace de mon père, tout comme mon petit frère, mais me concernant, cela fut toujours un peu plus trouble, j'étais attaché à mon père, j'avais une justesse d'esprit et une droiture morale plus grande que mes frères, mais pourtant, contrairement à eux, je n'avais jamais montré plus d'intérêt que cela, en fait, j'étais bien trop inquiet pour les gens, bien trop généreux aussi. Oui, j'étais davantage comme ma mère et c'est l'année de mes 17 ans que l'on en prit conscience. J'allais finir mon lycée et je devais choisir quoi faire plus tard, que faire de ma vie, que décider. Naturellement, j'avais suivis de nombreux stage, lu de nombreux livre, mais ce fut un soir en voyant revenir ma mère fatiguait du travail, mais un sourire au lèvre que je compris que si l'on pouvait être heureux en donnant aux autres, je voulais en être. Ainsi donc, peu avant d'aller dormir, j'étais allé toquer à la porte de mes parents, me glissant silencieusement dans leurs chambres alors que mon père lisait un livre et que ma mère finissait de tresser ses cheveux. « Maman, je peux te poser une question ? », mon père fronça les sourcils, comme par peur que le plus discret de ses enfants n'annonce quelque chose de grave, quand à ma mère elle me sourit avec amours, « Bien sûr Zayden. », me pinçant les lèvres, je mis quelques secondes avant de me lancer. « Je voulais savoir si demain, je pouvais t'accompagner dans les Favelas pour t'aider. », ma mère ouvrit grand les yeux avant de me demander, « Mais demain vous n'avez pas une sorti avec le lycée ? », haussant les épaules, je lui répondis un peu négligemment, « Si, mais c'est pas obligatoire et j'aimerais bien voir ce que tu fais, vu que j'ai déjà été au commissariat avec papa, je me disais que je pourrais te suivre demain. », son regard se fit plus doux encore lorsqu'elle me répondit, « Tu sais Zayden, c'est pas amusant comme avec papa, disons que c'est difficile… », mais face à mon regard insistant, elle reprit, « Bon, soit levé à 6 heures. », souriant alors, je la pris dans mes bras avant de l'embrasser et de les laisser.

Le lendemain fut alors plein de surprise. Je découvris ce que cela faisait d'aider, mais aussi ne n'être pas aider. Nous étions dans des zones illégales à prodiguer des soins dans le cadre d'action humanitaire. C'était difficile, fatiguant, usant, mais la reconnaissance, le plaisir qu'on en retirait n'avait pas de prix. Je la suivis de nombreuses fois suite à ça. L'aidant à chaque fois un peu plus en apprenant à faire des bandages ou des piqures et finalement, avant la fin de l'année, je fus en mesure d'annoncer à mes parents que je voulais faire comme ma mère. Je voulais être infirmier, mais aussi l'être dans l'humanitaire pour aider ceux qui n'avait pas vraiment eu la chance d'être comme moi. De naitre dans une famille, d'avoir un peu d'argent. C'était sans doute la révélation la plus conne du siècles pour mes frères, mais je ne voulais pas être l'épée dans ce combat contre le crime, je voulais être le bouclier.



Rio, Brésil # 2011
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J'allais finir mes études lorsqu'une affaire vint obscurcir ma vie. Je venais d'avoir 20 ans, et durant ces trois dernières années, je m'étais défoncé comme personne au travail. J'avais su réellement me battre pour avoir ce diplôme et finalement, l'élève moyen c'était révélé élève modèle. Mais pas que, j'avais rencontrer une fille à l'université. La plus belle que je n'avais jamais vu, une fille avec un regard si bleu et une peau si blanche qu'elle aurait pu être une illusion de mon esprit. Cette fille, j'en tombais fou amoureux, fou au point de ne pouvoir passer une journée sans elle, fou au point de prévoir ma vie à ses côtés. Mais cette fille était celle d'un grand nom de la mafia Brésilienne et si durant les deux ans que durèrent notre idylle cela ne posa jamais problème, un accident vient tout briser. Elle était enceinte. Et si dans un premier temps, ce fut la joie qui marqua son visage, elle finit bien rapidement par perdre la lumière qui illuminait ses yeux. Tout dégénéra un soir, ou notre famille était réuni à la maison. Je n'avais dit à personne que je sortais avec elle, car j'étais conscient que mon père serait déçu et qu'il m'accuserait d'avoir des sentiments pour une famille sans scrupule. J'avais tenu le secret, mais je savais que ma mère avait comprit qu'il y avait une femme dans ma vie, et cela sembla bien plus évident lorsque ce soir là, j'étais revenu rayonnant. La femme de ma vie attendait un enfant de moi, que pouvait-il m'arriver ? Le pire.

L'on frappa alors à la porte, mon père se leva alors pour aller ouvrir et lorsque ses collègues pénétrèrent dans la maison avec un mandat d'arrêt à mon nom, personne ne comprit. Mon père s'interposa alors et en quelque seconde, il fut menacé. Si il continuait, on l'arrêté lui aussi. Le père d'Elena, ma copine ou femme de ma vie au choix, fit alors intrusion dans le salon en me pointant du doigt et en hurlant que c'était moi. C'est alors qu'un officier s'avança en sortant des menottes. « Zayden Quinto, vous êtes en état d'arrestation avec pour chef d'accusation viole et violence aggravé… », la suite, je ne suis pas sur de l'avoir parfaitement entendu, en fait je fus incapable de réagir. Je sentis juste l'acier des menottes se refermer sur mes poignets, les collègues de mon père s'excuser et c'était tout. Elle avait porté plainte contre moi, elle avait dit que je l'avais menacé, souvent, régulièrement et que j'avais abusé d'elle presque tout les jours depuis deux mois… Elle m'accusait de viole et elle avait dit que je l'avais battu… Trop choqué pour dire quoi que ce soit, je fus incapable de me défendre et finalement, je fus emprisonné suite à ma condamnation. Me retrouvant en prison, je n'avais pas vraiment eu l'air de comprendre, personnes n'avaient eu l'air et face à mon absence de réaction, tout le monde finit par me croire capable d'un tel acte. J'étais le violeur, j'étais l'accusé. Au final, ma vie avait été bien jusque là, jusqu'à cet instant. J'avais eu la chance de vivre dans une famille soudé, j'avais fini mes études et j'aurais du pratiquer un métier que j'aime, mais à la place… J'allais finir ma vie en prison car j'avais violé la fille d'un mafieux… Non, je l'avais aimé, c'était différent… Mais pour les autres, j'étais coupable, tout simplement.



Rio, Brésil # 2012
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Je ne sais pas ce qui fut le pire, passer 6 mois en prison, ou ne recevoir aucune visite. J'avais changé en six mois, je ne souriais plus, je n'espérais plus non plus, en fait, j'étais devenu un autre, réellement. Pourtant, après six mois d'absence, l'on me sorti de prison pour retrouver le tribunal. Visiblement, il y avait eu de nouveau élément, mais fidèle à moi-même, je fus incapable de réagir une fois assis sur le banc des accusés. Comment j'avais pu en arriver là ? Je n'en savais rien, et c'est silencieux et le regard baissé que l'on commença un nouveau chapitre dans mon procés. Visiblement quelqu'un était revenu sur son jugement, et ce quelqu'un c'était elle. Sa voix me fit relever les yeux pour la première fois, elle était au côté de ma mère, contre son père qui lui, ne semblait pas du tout heureux… Son ventre était rond aussi et ses yeux rougi. « Je souhaiterais revenir sur ma déclaration… » les échanges furent assez violent dès lors, son père accusa ma mère de l'avoir manipulé et finalement le juge coupa l'assemblée pour laisser une chance à Elena de parler. « Cela aurait fait presque trois ans que j'étais amoureuse de cet homme, j'étais heureuse avec lui et je voulais vivre avec lui. Il ne m'a pas violé madame le juge, j'ai toujours été consentante et j'ai désiré cet enfant. », son père l'insulta alors et l'audience fut écourté. Les jours qui suivirent furent riche en rebondissement. Visiblement, son père en voulait au mieux et en apprenant que sa fille avait eut des rapports privilégier avec moi, il avait été dégouté, mais avait aussi trouvé un moyen de faire tomber la police local. Mais ce ne fut pas temps le dénouement qui finit par me poignarder, ce fut lorsqu'en pleine déclaration, elle commença à ressentir des contractions qui se soldèrent par son accouchement. Du moins c'est ce que l'on voulu bien me dire à ma libération quelques jours plus tard. Innocenté, mais plus vraiment pareil, je m'attendais à voir mes proches, mais au lieu de cela, on me remit une enveloppe qui était visiblement le dédommagement pour avoir été emprisonné à tord, puis une secondes enveloppe qui allait de paire avec deux autres choses. Le procès avait été gagné et l'on ne voulait plus entendre parler de moi, en fait, l'on voulait surtout que je ne les attaque pas, l'on voulait que je ne les fasse pas tomber et pour ce faire, on me concédé le droit de garde de ma fille, ainsi qu'un gros chèque… Et Elena dans l'histoire ? Elena était morte en accouchant… L'on ne m'en dit pas plus, je ne sus même pas ou elle était enterré… Je ne sus rien.

Personne ne m'aida avec cet enfant, l'on m'informa juste que j'avais une semaine pour trouver un logement et a en voir la réaction de mon père que je tentais de retourner chez moi, je compris que dans sa tête, j'étais responsable de son alcoolisme évident. J'étais donc reparti avec des cartons sous le bras, un budget qui n'était pas vraiment le mien et une fille que j'avais peur de toucher… J'avais peur de cet enfant et durant nos premiers temps à deux, je fus incapable de l'approcher sans pleurer, sans la faire pleurer. Elle avait peur de moi, autant que moi d'elle et… Je ne pourrais pas faire semblant, pas avec elle. Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas comment le faire et pour être honnête, ma fille n'eut pas de prénom avant longtemps.



Rio, Brésil # 2013
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Je ne peux pas vraiment parler de retour à la normal, après tout je n'avais que 21 ans, j'étais père d'une fille que je n'avais eu pas pu voir grandir dans le ventre de sa mère, j'avais un casier judiciaire et le métier que j'avais toujours rêvé de pratiqué m'était refusé à cause de ce que j'avais été accusé à tord d'avoir fait. Je restais bien loin de ce que j'aurais voulu comme vie, vraiment très loin. Mais j'avais su me retourner dans un sens. J'avais trouver un appartement au dessus d'une vieille librairie dans un ancien quartier de Rio. Un appartement que personne ne voulait habité car encastré dans un vieux bâtiment. Je ne sais pas si c'était le voisinage vieillissant ou les travaux qui embêtait le plus, mais j'avais réussit à l'avoir pour un bon prix et puis surtout, j'avais réussit à dépenser l'argent de celui qui aurait du être mon beau père. Je n'en voulais pas, je ne voulais pas l'utiliser au quotidien, ca avait donc été ma seule solution. Oui en un an finalement, j'avais simplement passé ma vie et dépensé mon argent dans la rénovation d'un appartement, en gros, je n'avais su être que propriétaire, car père… Siham pleurait toujours autant, si bien que j'avais fini par la confier à mes voisins, un couple de personnes âgés qui avaient visiblement plus envie de m'aider que ma famille qui refusait toujours de me voir. En même temps, je ne l'avais sans doute pas voler, j'avais changer, beaucoup trop…

C'était étrange de voir comment un homme pouvait à ce point perdre espoir, à quel point un épisode de sa vie pouvait la changer. J'avais été choqué pendant presque un an et je continuais à le faire, je continuais à être incapable d'avancer, ne sachant dépenser que l'argent que j'avais gagné dans cette connerie. En fait, je cherchais réellement à me laver de tout ça et j'allais sans doute mettre plus de temps que prévu pour ça, quitte à perdre du temps avec ma fille, j'avais besoin de m'apprendre, j'avais besoin de me retrouver… Alors non, on ne peut pas parler d'un retour à la vie normal, juste d'une tentative.



Rio, Brésil # 2014
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Siham avait presque deux ans, et en deux ans… Les choses avaient terriblement changé. J'avais passé un an à ignorer ma fille et c'est lorsqu'elle prononça pour la première fois papa à l'intention d'un autre, lorsqu'en allant la chercher un soir plein de poussière et qu'en la reprenant des bras de mon voisin et que sa voix s'éleva pour lui que je compris que j'étais entrain de tout louper avec elle. J'avais perdu six mois de ma vie en prison, j'avais perdu mes proches, et j'allais la perdre elle en plus de ces un an passé à me défouler pour au final oublier. Je ne pouvais pas continuer, je devais me reprendre. Pris de bonne volonté, je me mis à chercher un travail ou l'on ne repenserait pas à moi comme un violeur, et finalement ce fut mon voisin, le propriétaire de la librairie de livre ancien sous mon appartement qui me donna la solution. Il avait gardé ma fille un an, et aujourd'hui, il m'offrait du travail. Il n'avait plus la force de courir la ville et le pays à la recherche d'ouvrage ancien, il n'avait plus la force de nettoyer les étagères, ni d'ouvrir toute la journée, il avait besoin de quelqu'un pour l'aider. Un homme dont j'avais abusé de la gentillesse était-il en train de m'aider encore ? Lui et sa femme avait tellement fait pour moi, et le monde m'avait tellement tourné le dos que j'avais du mal à comprendre son geste. Pourtant il m'incita à le faire et après une période d'essai, il finit pas m'embaucher pour de bon. Il m'avait donc fallu plus d'un an et demi pour en arriver là et à présent, j'avais l'impression que je devais la vie à un parfait inconnu. Ma vie n'était plus celle qu'elle avait été, mais je remontais lentement la pente. J'apprenais à connaitre ma fille, j'apprenais à l'aimer et à la faire grandir et finalement, la surprise vint un beau soir alors que Siham faisait preuve d'équilibre sur ses jambes encore tremblante. L'on avait sonné à ma porte et après un « J'arrive. », crié à l'intention de la porte. Remettant donc ma fille à sa place, je me dirigeais au petite trot à la porte avant de l'ouvrir et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant ma mère, mon père, mes deux frère et ma soeur. Ce fut ma mère qui demanda si elle pouvait rentrer, si ils pouvaient rentrer. Trop surpris, je m'écartais avant de refermer la porte et rejoindre ma fille pour la prendre dans mes bras et de les regarder. Ils voulaient quoi ? Je n'en savais rien et ils restèrent la debout alors que moi, je les fixais en chien de faience. Je ne comprenais pas et finalement ce fut ma mère qui prit la parole, encore. « Zayden… Nous aimerions nous excuser, parler… », la coupant alors, je lui dis, « Presque deux ans et demi après ? Vous y avez cru, vous m'avez pas défendu. », sauf ma mère à la fin. « Tu nous avais caché que… », « Que j'aimais une fille ? », « Une fille de Mafieux. », coupa mon père. « T'as une petite fille de mafieux alors. » soufflais-je entre mes dents. Le reste de la soirée fut… Tendu mais au final, la famille semblait vouloir se réouvrir mais de la dire que c'était l'amour fou… On y était pas encore, mais c'était un mieux.



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